Article publié le 20/11/2023

La CUMA de la bourse offre un nouveau départ à l'activité déchiquetage de l'Allier

À la suite d'une importante réorganisation, la fédération départementale des CUMA de l'Allier a créé, en janvier 2022, la CUMA de la Bourse afin de maintenir les activités de déchiquetage du département.


Présidée par Ludovic CATARD, la CUMA de la Bourse a été amenée à reprendre les activités d’une ancienne CUMA placée en liquidation judiciaire. Une décision déterminante pour maintenir les services de déchiquetage déjà en place depuis près de quinze ans dans le département. Basée à Yzeure dans l’Allier, la CUMA propose également, en plus de l’activité bois, une activité compostage de fumier et intervient sur l’ensemble du département de l’Allier. « Nous comptons aujourd’hui près de 300 adhérents qui souscrivent au capital social de la CUMA pour pouvoir bénéficier de nos prestations, précise Ludovic CATARD. Nous avons en parallèle créé une seconde structure en SAS pour nous permettre de réaliser une activité commerciale. »

LE CHOIX DU VALORMAX D583 : "LA QUALITÉ DE LA PLAQUETTE NOUS A SAUTÉ AUX YEUX !"

Pour son activité déchiquetage, la CUMA a placé, à l’arrière de son Fendt 939 de 400 chevaux, un Valormax D583 reçu en février 2023 avec une fendeuse, proposée en option. Une machine qui, malgré un léger retard de livraison, semble aujourd’hui tenir toutes ses promesses. « Nous avons opté pour du Noremat assez rapidement, explique Ludovic CATARD. La qualité de la plaquette nous a sauté aux yeux lors des démonstrations de la machine. La renommée du SAV de Noremat a également été importante dans notre choix, car l’approvisionnement en pièces était extrêmement compliqué avec notre précédent fournisseur. »


DIFFÉRENTES UTILISATIONS DE LA PLAQUETTE

Le broyeur permet de produire deux types de plaquettes de bois : des plaquettes de grand calibre (typeG80-100), essentiellement vendues en chaufferies industrielles, et de la petite plaquette (type G30-40), vendue à des paysagistes pour réaliser du paillage ou de la litière. « Suite à une grosse sécheresse il y a une quinzaine d’années, des essais ont été réalisés pour combler le manque de paille, explique le président de la CUMA. Depuis, c’est devenu courant d’acheter du bois pour l’utiliser en litière, soit en paillage intégral, soit en mettant la plaquette en sous-couche pour conserver la litière propre plus longtemps. »

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